La canicule avait frappé toute la journée, et les pierres restituaient encore cette chaleur dont elles s’étaient imprégnées. J’avais été le spectateur de nombreux combats à mains nues que j’imposait à mes esclaves. Quelques fois, j’étais parvenu dans le plus grand secret à rencontrer l’un d’entre eux, doué, qui m’avait initié à quelques techniques en échanges de services. Judas de son coté connaissait un peu cette pratique, et notre amitié de longue date ne nous avait jamais amenés à nous mesurer. Il était fier, son corps d’athlète parfait le faisait ressembler apollon, il était grand et élancé. Je ne résistais pas à l’envie de le provoquer dans une joute amicale, mais le connaissant, je savais qu’il n’accepterai pas (au nom de notre amitié) de nous mettre en compétition. Nos corps transpiraient, et le seul moyen de nous rafraîchir consistait à nous mouiller régulièrement la nuque près du bassin d’eau fraîche. Alors que Judas se baissait pour en boire quelques gorgées, je m’emparais en traître de son poignet, et lui plaçait une clé au bras, l’immobilisant sans mal. Il ne compris pas de suite ce qui lui arrivait, et n’opposa aucune résistance. Je forçais alors sur ma prise, il émit un cri me demandant de m’expliquer. Il était un peu nerveux. Je ne lui répondit pas, et continuais d’appuyer cette clé. Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, il décidât de répliquer ; il commençât a résister. Je lâchais de mon coté cette prise, et lui portais un étranglement simple. Ma poitrine collée à ses épaules robustes et transpirantes … la bataille allait commencer. Il n’eut aucun mal à m’envoyer au sol par dessus ses épaules, et me plaqua quelques secondes au tapis. J’exigeais alors une revanche à ce simulacre de victoire. Il refusa une première fois, mais accepta rapidement . Après tout ce n’était qu’un jeu. Judas déposa sa toge sur un banc j’en fis de même. Nous étions alors seulement vêtus d’un pagne de coton. La première empoignade manquait de fermeté de sa part. j’en profitai pour le mettre au tapis d’un simple balayage. Une fois au sol, je m’emparais de ses 2 poignets, appuyais mes pieds sur ses épaules, et tirais de toutes mes forces, provoquant ainsi un étirement de ses épaules. Il commençait a comprendre que le jeu était presque réel. Il gigotait sur le dos, toujours sous l’emprise de cet étirement . J’embrayais alors, et lui plaçais un ciseau à la tête avec mes jambes. Il réagissais mal. Je souhaitais en découdre avec lui, mais il jouait la passivité. Soudain, alors que justement je relâchais mon attention, il se saisit d’une de mes chevilles qu’il tordit au point de me faire crier. J’avais tout lâché, et lui avais rendu ainsi sa liberté. Il venait d’entrer dans le jeu. Son regard noir me transperça, et je vis Judas en colère pour la première fois. Il saisit mon autre cheville. Il était debout, moi sur le dos face a lui, mes chevilles dans ses mains. Il m’asséna quelques coups de pieds douloureux sur chacune de mes cuisses, je venais de prendre cher. Sans me laisser 2 secondes de répit, il coinça l’un de mes pieds sous son pied gauche, et repoussa mon autre pied pour m’imposer un écartèlement imparable. Entre douleur et rage, j’implorais sa pitié du regard, mais l’homme au cheveux d’ébène n’en eut aucune. Il s’acharna sur cet écartèlement. Mon agonie lui plut. Alors qu’il se baissait pour m’enfourcher au sol , je parvins à lui coller une manchette sur la nuque. Surprit, il s’affaissa sur moi, me laissant juste le temps de dégager mes pieds de sa prise douloureuse. Je lui appliquais alors plusieurs manchettes pour affirmer ma reprise du pouvoir. Je me relevais, saisis la chaîne, et, alors qu’il était toujours sur le ventre lui nouait les chevilles et les poignets. Il gisait maintenant sur le sol, poignets et pieds liés dans son dos. Rien ne pouvait plus lui permettre de s’échapper. Je profitais alors de la situation pour lui arracher son pagne, révélant ainsi une paire de fesses dures et musclées. Il râlait, il jurait et de mon coté, j’admirais cette proie prise au piège. J’avais vaincu la bête. Je me débarrassais alors de mes derniers vêtements, et commençais à le libérer. Je n’eus pas sitôt défait l’emprise que Judas bondit comme un chat sauvage, il me souleva sans efforts, me projeta sur le banc. Avant qu’il ait le temps de m’enjamber sur le banc, j’esquivais rapidement et me retrouvais face à lui. Jetés l’un contre l’autre, nos corps musclés ruisselants, nos empoignades épuisantes se succédaient. Je parvins malgré tout à le soulever, et à jeter son corps sur mes épaules. Un peu surpris de sa position, Judas ne savait pas comment réagir. Moi par contre je profitais de l’occasion pour le jeter nu dans le bassin où avait commencé notre lutte. Épuisé et humilié par cet affront, Judas me jeta un œil noir, et malgré tout savoura le bonheur de la baignade. Je le rejoignis quelques secondes après.
MancsMonkey (0)
28/07/2010 17:13Zut alors! Je me suis totalement rougi!
ladron fr (53)
27/07/2010 20:34La canicule avait frappé toute la journée, et les pierres restituaient encore cette chaleur dont elles s’étaient imprégnées. J’avais été le spectateur de nombreux combats à mains nues que j’imposait à mes esclaves. Quelques fois, j’étais parvenu dans le plus grand secret à rencontrer l’un d’entre eux, doué, qui m’avait initié à quelques techniques en échanges de services. Judas de son coté connaissait un peu cette pratique, et notre amitié de longue date ne nous avait jamais amenés à nous mesurer. Il était fier, son corps d’athlète parfait le faisait ressembler apollon, il était grand et élancé. Je ne résistais pas à l’envie de le provoquer dans une joute amicale, mais le connaissant, je savais qu’il n’accepterai pas (au nom de notre amitié) de nous mettre en compétition. Nos corps transpiraient, et le seul moyen de nous rafraîchir consistait à nous mouiller régulièrement la nuque près du bassin d’eau fraîche. Alors que Judas se baissait pour en boire quelques gorgées, je m’emparais en traître de son poignet, et lui plaçait une clé au bras, l’immobilisant sans mal. Il ne compris pas de suite ce qui lui arrivait, et n’opposa aucune résistance. Je forçais alors sur ma prise, il émit un cri me demandant de m’expliquer. Il était un peu nerveux. Je ne lui répondit pas, et continuais d’appuyer cette clé. Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, il décidât de répliquer ; il commençât a résister. Je lâchais de mon coté cette prise, et lui portais un étranglement simple. Ma poitrine collée à ses épaules robustes et transpirantes … la bataille allait commencer. Il n’eut aucun mal à m’envoyer au sol par dessus ses épaules, et me plaqua quelques secondes au tapis. J’exigeais alors une revanche à ce simulacre de victoire. Il refusa une première fois, mais accepta rapidement . Après tout ce n’était qu’un jeu. Judas déposa sa toge sur un banc j’en fis de même. Nous étions alors seulement vêtus d’un pagne de coton. La première empoignade manquait de fermeté de sa part. j’en profitai pour le mettre au tapis d’un simple balayage. Une fois au sol, je m’emparais de ses 2 poignets, appuyais mes pieds sur ses épaules, et tirais de toutes mes forces, provoquant ainsi un étirement de ses épaules. Il commençait a comprendre que le jeu était presque réel. Il gigotait sur le dos, toujours sous l’emprise de cet étirement . J’embrayais alors, et lui plaçais un ciseau à la tête avec mes jambes. Il réagissais mal. Je souhaitais en découdre avec lui, mais il jouait la passivité. Soudain, alors que justement je relâchais mon attention, il se saisit d’une de mes chevilles qu’il tordit au point de me faire crier. J’avais tout lâché, et lui avais rendu ainsi sa liberté. Il venait d’entrer dans le jeu. Son regard noir me transperça, et je vis Judas en colère pour la première fois. Il saisit mon autre cheville. Il était debout, moi sur le dos face a lui, mes chevilles dans ses mains. Il m’asséna quelques coups de pieds douloureux sur chacune de mes cuisses, je venais de prendre cher. Sans me laisser 2 secondes de répit, il coinça l’un de mes pieds sous son pied gauche, et repoussa mon autre pied pour m’imposer un écartèlement imparable. Entre douleur et rage, j’implorais sa pitié du regard, mais l’homme au cheveux d’ébène n’en eut aucune. Il s’acharna sur cet écartèlement. Mon agonie lui plut. Alors qu’il se baissait pour m’enfourcher au sol , je parvins à lui coller une manchette sur la nuque. Surprit, il s’affaissa sur moi, me laissant juste le temps de dégager mes pieds de sa prise douloureuse. Je lui appliquais alors plusieurs manchettes pour affirmer ma reprise du pouvoir. Je me relevais, saisis la chaîne, et, alors qu’il était toujours sur le ventre lui nouait les chevilles et les poignets. Il gisait maintenant sur le sol, poignets et pieds liés dans son dos. Rien ne pouvait plus lui permettre de s’échapper. Je profitais alors de la situation pour lui arracher son pagne, révélant ainsi une paire de fesses dures et musclées. Il râlait, il jurait et de mon coté, j’admirais cette proie prise au piège. J’avais vaincu la bête. Je me débarrassais alors de mes derniers vêtements, et commençais à le libérer. Je n’eus pas sitôt défait l’emprise que Judas bondit comme un chat sauvage, il me souleva sans efforts, me projeta sur le banc. Avant qu’il ait le temps de m’enjamber sur le banc, j’esquivais rapidement et me retrouvais face à lui. Jetés l’un contre l’autre, nos corps musclés ruisselants, nos empoignades épuisantes se succédaient. Je parvins malgré tout à le soulever, et à jeter son corps sur mes épaules. Un peu surpris de sa position, Judas ne savait pas comment réagir. Moi par contre je profitais de l’occasion pour le jeter nu dans le bassin où avait commencé notre lutte. Épuisé et humilié par cet affront, Judas me jeta un œil noir, et malgré tout savoura le bonheur de la baignade. Je le rejoignis quelques secondes après.